MARCO K.
Transition entre l’observation, la transformation et l’application, un espace de liberté et de cheminement inscrit dans une permanence légère et habitée. L’incertain y côtoie le méticuleux, le souffle et la forme. Colles, couleurs, pâtes, matières, un espace d’apaisement visité par les sons de la cour, arrosé par les lumières discrètes et l’air des saisons qui se glissent par interstices et tabatières. Zone de recul primaire presque secrète, qui tient son fil par le discret labyrinthe qui mène à l’activité hors champs et sans discours. Alors juste accueillir avec sensibilité la présence et les regards, et pour un instant, sous l’impulsion du monde, faire une brèche pour dire et partager.